Dans un coin de Shimazaki, dans la ville de Kumamoto, se trouvait un Léproserie, qui existait depuis 115 ans. La salle d'attente a fermé tranquillement en janvier 2013 en raison d'une diminution du nombre de résidents.

Léproserie dans le Japon moderne sont nés de projets de secours dirigés par des religieux. L'un d'eux était le temple Taisho-in, fondé en 1898, où vivaient le prêtre JM Cole de la Société des Missions étrangères de Paris et les sœurs franciscaines des Missionnaires de Marie à proximité du Malades de la lèpre des patients atteints de la maladie de Hansen au Japon. Tout a commencé avec les activités de traitement médical de cinq religieuses.

En 1901, Tairou-in, un centre de traitement pour Malades de la lèpre, a été construit sur la colline Biwazaki, près du temple Honmyo-ji. Finalement, les personnes dans le besoin, comme les enfants orphelins et les personnes âgées abandonnées au bord de la route, se sont rassemblées ici et, avec les religieuses, elles ont formé « La Colline de Notre-Dame », où elles ont vécu une vie communautaire basée sur leur foi. Bien que le nom et la fonction de la salle d'attente aient changé, elle est restée un lieu de vie pour les patients et Anciens malades de la lèpre Malades de la lèpre.

Jusqu'à présent, Musée national de la maladie de Hansen s'est principalement concentré sur Léproserie, mais avec la récente fermeture du sanatorium, nous exposerons son histoire depuis sa création jusqu'à sa fermeture. Nous espérons que vous acquerrez une compréhension plus approfondie de l'histoire des Léproserie en observant le processus de formation différent de celui des Sanatorium public, ainsi que les aspects de la vie de récupération qui y sont pratiquées. Nous espérons également que ce livre vous sera l'occasion de réfléchir aux relations entre religion et travail social au Japon depuis les temps modernes à travers l'existence du Tairou-in, qui fut à l'origine du Seibogaoka.